Mes aventures

Le Salento mode d’emploi #2 : les spots aquatiques

Le Salento mode d’emploi #2 : les spots aquatiques
Birgit Dahl
20 h 09 min
novembre 25th, 2017

Maintenant vous savez où se trouve ce petit coin de paradis qu’est le Salento parce que vous avez lu mon billet précédent ici. Si vous connaissez ce blog, vous savez aussi que j’ai besoin de Méditerranée. Chaque année, il me faut ma dose estivale de bleu et pas que dans les recettes (Cookingout c’est chaque mois des recettes monochromes et en Août, c’est le bleu qui est à l’honneur). Résultat, nos destinations sont très souvent l’Espagne ou l’Italie et ce n’est pas la première fois que nous partons dans les Pouilles. Nous y sommes allés en 2003 et malgré la canicule j’en gardais un très bon souvenir. En effet, il y a toujours un petit vent qui fait supporter les grosses chaleurs et l’eau est tellement chaude que l’on peut y rester longtemps. Et bien, j’ai retrouvé mes souvenirs et même en mieux. La mer semble propre, un seul plastique rencontré dans l’adriatique et pas de méduses. Il y a de superbes oursins dont les Italiens sont friands (nous aussi).

Le Salento est bordé de 2 mers la Ionienne et l’adriatique généralement plus agitée. De chaque côté on trouve des plages de sables et des plages de rochers; Impossible de toutes les voirs mais je vous livre nos coins préférés.

En rochers : 

Santa Maria a Bagno, proche de Gallipoli où un petit Lido est aménagé et où il est possible de sauter plonger d’un rocher de 3 mètres ou de suivre des escaliers naturels pour se glisser dans l’eau, profonde. Une immense piscine bleu marine idéale pour les randonnées palmées (c’est le nouveau nom marketing donné par les marque de sport à la nage avec palme mais j’aime le nom et surtout nager avec des palmes pendant longtemps). Et voici toute la bande enthousiaste à l’idée de la randonnée palmée sauf le photographe réfractaire aux palmes :

 

Santa Catarina, proche de Gallipoli plus brute, pas de lido et des rochers très hauts (plus de 8 mètres) qui étaient le lieux préférés des ados qui ne se lassaient pas de sauter et ressauter. Parfaite aussi pour les randonnées palmées, la mer y est un peu plus fraîche parce qu’alimentée de source et donc moins salée.

Porto salvaggio, entre Gallipoli et Porto Cesareo cette baie se trouve dans un parc naturel. Ce lieu se mérite après une randonnée à pied à travers les pins de 1,5 km qui descendent (le retour est moins facile entre les coup de soleil et la remontée) on arrive sur une crique rocailleuse où les italiens s’installent pour la journée (peut-être même la nuit) avec BBQ, glacière, tables et chaises la totale, et où le coucher de soleil sur la mer est magnifique.

 

Cesarea  terme, nous n’y avons pas été cette année mais j’en garde un bon souvenir et ce lieu est assez connu.

 

En sable :

Baia dei tuchi, côté adriatique près d’Otranto, un mixe de sable et de rocher pour contenter tout le monde. Le cub Med est istallé pas loin, il faut leur faire confiance il détecte les meilleurs coins. Comme il faut marcher un peu pour y accéder, cette plage était relativement tranquille.

Lido Lindinuso toujours côté adriatique, entre Brindisi et lecce, c’était le plus sauvage et le moins peuplé, spot de planche à voile et Kyte surf, l’endroit est venté mais garde un petit côté vieillot très agréable.

 

SanCataldo, le plus authentique, c’est la plage des gens de Lecce. Les lidi sont de vrai villages ou les habitués se retrouvent et ont une petit pièce pour se reposer et poser les affaires. Le sable est un peu noir au bord mais cela n’a pas l’air de gêner les habitués.

Lido Maldive, du coté de Santa Maria di Leuca. Un parmi d’autres juste pour le nom, reste très populaire et très peuplé. On a pied longtemps, il y a du monde mais dès que l’on arrive là où l’on n’a plus pied la mer est pour vous. Parfait pour le volley ou les raquettes et pour les enfants petits qui restent au bord sans problème.

Lido Pineta ou lido sabioso du côté de torre San Giovanni, notre toute première destination, des lidi dans les pins avec une petite dune et hop le sable blanc et où l’on a pied longtemps. Il y a moins de monde.

Et enfin la piscine de la maison d’où nous avions du mal à déloger et à faire bouger toute la marmaille qui trouvé sans cesse de nouveaux jeux et où ils s’apprenaient les nages et l’art du plongeon pour mieux expérimenter sur les rochers.

Il y a pleins d’autres lidi et lieux à découvrir, 2 semaines ne suffisent pas ! 

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